Chadenac

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Chadenac
Chadenac
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Jonzac
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Saintonge
Maire
Mandat
Patrick Chatelain
2020-2026
Code postal 17800
Code commune 17078
Démographie
Gentilé Chadenacais
Population
municipale
517 hab. (2021 en augmentation de 8,16 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 32′ 32″ nord, 0° 26′ 27″ ouest
Altitude Min. 32 m
Max. 112 m
Superficie 14,11 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pons
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Chadenac
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Chadenac
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Chadenac

Chadenac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Chadenacais et les Chadenacaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune de Chadenac se situe dans le sud du département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine, dans l'ancienne province de Saintonge. Appartenant au Midi de la France — on parle plus précisément de « Midi atlantique »[2], au cœur de l'arc atlantique, elle est partie intégrante du Grand Sud-Ouest français, et est parfois également incluse dans un Grand Ouest.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Chadenac
Biron Échebrune Jarnac-Champagne
Avy Chadenac Neuillac
Marignac Neulles

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune de Chadenac est très légèrement vallonnée, ce qui est propice à la culture de la vigne (destinée au cognac) dont les plantations représentent une importante surface de la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chadenac est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5]. La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (99,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (40,7 %), terres arables (35,2 %), zones agricoles hétérogènes (22,3 %), zones urbanisées (1,8 %), forêts (0,1 %)[8]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Chadenac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[9]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[10].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010[11],[9].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chadenac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[12].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 90,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 240 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 202 sont en aléa moyen ou fort, soit 84 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[13],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[14].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1983, 1999 et 2010[9].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune est issu d'un nom de propriétaire gallo-romain Catinius ou Catinus, auquel est apposé le suffixe -acum.

Histoire[modifier | modifier le code]

Jacques Poussard, chevalier et seigneur de Payré, conseiller et chambellan du Roi, maire de La Rochelle en 1378, 1383 et 1391, acquit le , la forteresse et tour de Chadenac. Il était l'époux de Catherine de Vivonne.

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2020 Gérard Guibert DVD Retraité agricole
2020 En cours Patrick Chatelain   Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Canton et intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune de Chadenac appartient au canton de Pons dont elle constitue l'une des 19 communes, mais elle adhère à la Communauté de communes de la Haute-Saintonge dont le siège administratif est situé à Jonzac.

Par contre, elle rejoint son chef-lieu de canton dans le cadre de l'adhésion au Pays de Haute-Saintonge où le siège administratif demeure fixé à Jonzac.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[17].

En 2021, la commune comptait 517 habitants[Note 2], en augmentation de 8,16 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
721748678875860807796827793
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
801826814797740687655661640
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
626644670592551556544512516
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
601531473429424425422419392
2014 2019 2021 - - - - - -
474511517------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (29 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,1 % la même année, alors qu'il est de 34,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 255 hommes pour 249 femmes, soit un taux de 50,6 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (47,85 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[20]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,3 
90 ou +
4,4 
8,9 
75-89 ans
10,7 
19,3 
60-74 ans
18,6 
20,8 
45-59 ans
19,0 
16,6 
30-44 ans
17,1 
11,2 
15-29 ans
13,9 
20,8 
0-14 ans
16,3 
Pyramide des âges du département de la Charente-Maritime en 2020 en pourcentage[21]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,6 
9,7 
75-89 ans
12,4 
21,9 
60-74 ans
23,1 
20,2 
45-59 ans
19,8 
16,2 
30-44 ans
15,7 
15,2 
15-29 ans
12,8 
15,6 
0-14 ans
13,7 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture est une ressource économique importante. La commune est située en Petite Champagne, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[22].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Martin[modifier | modifier le code]

Église Saint-Martin.

Cette église romane bâtie aux XIIe et XIVe siècles était à l'origine une dépendance de l'abbaye Saint-Sauveur de Charroux.

Elle est constituée d’un chœur rectangulaire voûté d’ogives, de transepts et d’une nef unique à six travées étroites dont la voute fut détruite pendant les guerres de religion. Le bras de transept sud et la chapelle sont aussi voûtés d’ogives. La coupole est octogonale. La façade remarquable notamment autour du portail central, montre diverses figures et personnages. Elle est appelée « Marquise de Saintonge ».

L'église Saint-Martin est classée au titre des monuments historiques, par arrêté du [23].

Borne milliaire[modifier | modifier le code]

Une borne romaine[24] est visible sous un abri, avec d'autres vestiges, auprès de l'église Saint-Martin de Chadenac.

Cette pierre calcaire dont l'inscription est datée des années 45-46 ap. J.-C. (sous l'empereur Claude) a été remployée en cuve de sarcophage dès l'Antiquité tardive ou au haut Moyen Âge, après avoir été retaillée, ce qui a amputé les premières lignes écrites ainsi que l’unité de longueur. Au vu de la distance de 24 milles partiellement indiquée dans le texte[25], que comme les éditeurs du CIL Louis Maurin (auteur de la Carte archéologique de la Gaule du département) envisage depuis Mediolanum (Saintes) en direction de Guimps[26], et bien que le nom du chef-lieu reste discuté, il est probable que la borne a été déplacée d'environ 4 km depuis son emplacement premier[27], sur la voie antique dans l'axe de la frontière sud de la commune[28].

Mis au jour en 1863 lors des premières fouilles du cimetière gallo-romain du « Terrier de la Chapelle » (une chapelle détruite au XVIIIe siècle et dédiée à sainte Sône), à environ 600 m à l’est-sud-est du bourg[29], le milliaire est d’abord déplacé au bord de la route près du lieu de découverte. Au XXe siècle, il est installé à son emplacement actuel, auprès de l'église Saint-Martin.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason à dessiner Blason
Tiercé en pairle renversé : au 1er d'azur à l'église Saint-Martin du lieu d'argent accompagnée de trois fleurs de lis d'or, au 2e d'argent à l'épée basse d'or garnie de gueules brochant sur une fasce ondée d'azur, au 3e de gueules à la voie romaine pavée d'argent et jointée de sable posée en fasce surmontée d'une borne militaire d'argent portant l'inscription « TRIBVN IMPERATORXI COSIIIDESIGN XXIVM » en lettres capitales de sable[30].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. Louis Papy, Le midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984
  3. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  5. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  9. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Chadenac », sur Géorisques (consulté le ).
  10. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  11. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  12. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  13. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  14. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chadenac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chadenac (17078) », (consulté le ).
  21. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente-Maritime (17) », (consulté le ).
  22. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le ).
  23. « Église Saint-Martin », notice no PA00104638, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  24. Voir plus de détails sur la base petrae (Louis Maurin, 2014), une vue géolocalisée (45° 32′ 31″ N, 0° 26′ 38″ O) sur Street View, et aussi d'autres bornes dans la liste des bornes milliaires de France protégées aux monuments historiques (le monument en question étant propriété de la commune et dans le périmètre de protection de l'église Saint-Martin).
    Bibliogr. :
    * Louis Maurin, CAG-17-1. Charente-Maritime, 2000, p. 125 et à propos du cimetière p. 126-129 (partiellement en ligne).
    * Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 428 (CIL 17-02, 00428).
    * Theodor Mommsen, et al., CIL XIII, 1907, inscr. 8900 p. 655 (en ligne).
  25. [Ti(berius) Claudius] / [Drusi f(ilius) Caes(ar) Aug(ustus)] / [Germanicus, pont(ifex) max(imus)], / ṭṛịḅụṇ[ic(ia) potest(ate) ---], / imperatọṛ XI, [p(ater) p(atriae)], / co(n)s(ul) I̅I̅I̅ design(atus) [IIII], / (milia passuum) X̅X̅I̅V̅ Ṃ[ed(iolano)]
    Traduction de Louis Maurin (2014) : Tibère Claude César Auguste Germanicus, fils de Drusus, souverain pontife, en sa 5e (?) puissance tribunicienne, acclamé imperator 11 (?) fois, père de la patrie, consul 3 fois, désigné pour la 4e. 24e mille depuis Mediolanum.
  26. Peut-être jusque Périgueux, comme cela est parfois envisagé.
  27. Qui, très hypothétiquement, serait alors aux environs de 45° 30′ 19″ N, 0° 23′ 06″ O, dans la commune de Neuillac.
  28. Une autre hypothèse non communément admise propose que l’unité de mesure soit une lieue gauloise de 2 416 m et que la borne ait indiqué la distance depuis Aubeterre-sur-Dronne. Cf. Jacques Dassié, « Archéologie aérienne, la grande lieue gauloise », (consulté le ). Il faut souligner que ces hypothèses publiées depuis 1999 ne sont pas reprises dans les publications archéologiques récentes, comme celles de Louis Maurin.
  29. Aux environs de 45° 32′ 17″ N, 0° 25′ 58″ O.
  30. « Chadenac », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]